Divers ( ça veut dire bazar )

Extraits d'un post pivots, il y a si longtemps

Pivots, Resistance and Support for the new day 06/10

D'un langage imagé, fleuri, acidulé
Il nous fit part de ses plus subtiles pensées
En retour, traçons lui d'une plume sincère
Ce paraphe averti, Joyeux anniversaire !

Le détour

Au hasard d'un détour, une vision fugace
Quelques vers entendus, ont ralenti mes pas
Dans ma course effrénée contre le temps qui passe
L'espace d'un quatrain, je vous salue bien bas.

Le retour

Au hasard d'un retour, si légère insomnie
Ce rythme différent dans la cacophonie
Résonne étrangement, amusante symphonie
Au revoir à ce jour dont c'est le seul profit.

Loin des bruits de la ville, et de ses pollutions
Quelque coin verdoyant nous incite au repos
Flânerie en forêt, promenade en ballon
Le silence est de mise en ce calme hameau.

A peine un chant d'oiseau pour troubler le silence
Notre preux chevalier s'étendit sur la mousse
Dégrafant sa lourde armure en toute confiance
Il ferma les yeux et dormit dans l'herbe douce.

Il rêva de fortune et de prix littéraires
Puisque l'un était là, pourquoi tarderait l'autre?
Allongé sous la lune ce futur milliardaire
Souriait aux vivats de ses futurs apôtres.

Quelque rêve secret vint troubler ce repos
Son sommeil contrarié, il ouvrit ses yeux clos
Et demeura plongé dans une songerie
Qui ne devait cesser qu'à la fin de la nuit.

Le matin le trouva comme toujours fringant
Fermement il sella son beau destrier blanc
Et reprit guilleret la route vers la gloire
Vers la bourse gonflée d'un bonheur illusoire.

ch'aime pien lisdoire ki se temine tans l'euforie

Traversant un village tout un attroupement
Fit stopper sa monture, il observa curieux
Au milieu de la foule un étrange turban
Coiffait un étranger parlant parmi les gueux

Il essaya d'entendre, peu pressé par le temps
Et ouit raconter d'étonnantes histoires
La morale échappant à son entendement
Il resta fort marri de ce présent déboire.

Plongé dans un recueil de mille et une histoires
Qui le laissaient rêveur après ce bon souper
Il s'imaginait arpentant les territoires
Sur un tapis d'Orient tout de fils d'or tressés

A l'auberge l'assemblée se faisait nombreuse
Il leva la tête et salua au hasard
Reconnaissant le scribe à la plume rimeuse
Il sourit avec respect à l'amateur d'arts.

De son céleste sourire, la belle Fleurie
Tentait Michon qui la regardait, ravi
Pendant que bouillait la soubressade en son pot
Vulgaire soupe aux choux destinée aux animaux

N'y tenant plus, le Michon s'avança, balourd
Puis il la bouscula tout près de la marmite
Pour ne sembler céder, elle cria au secours
Une bataille eut lieu en ce lieu insolite

Dans l'ardeur du combat il y eut des dégâts
Et le pire de tous fut ce bout de Morteau
Provision de l'hiver qui tomba dans le pot

Et cuisit cependant que la Fleurie, vaincue
Subissait son destin sans rien dire de plus
Plus tard ils s'extasièrent devant ce nouveau plat.

Céleste

D'un élan de cristal
Léger comme flocon
Si parfaite façon
Qu'on l'eût dite idéale
J'ai nourri maintes nuits
Parcourant l'infini
Des trésors de l'esprit
Bousculant ma mémoire
Pour lui laisser accroire
Que ni pluie ni blizzards
Nul chemin du hasard
N'en ferait une fin.
Tendre miroir sans tain
Mais plus froid que le marbre
En mon coeur et ma vie
L'amour croît comme un arbre.

Clémence

D'un époux infernal
Radin comme un patron
Si mesquine façon
Qu'elle lui fut fatale
J'ai nourri maintes truies
Réduisant en bouillie
Mon trésor de mari
Emouvant les flicards
Pour leur laisser accroire
Que c'était un tocard
Qui chût dans la mangeoire
Quand il était saoûl fin.
Pauvre bon vieux copain
Mais plus froid que le marbre
Ce qu'ont laissé les truies
Repose sous un arbre.

A Mariella ( oui elle s'appelle sûrement Mariella )

Je n'aurais pas cru connaître ce jour funeste
Où, pour naviguer sur des flots bien illusoires,
Vous allez, sans aucun remords, tomber la veste
Nous quitter, restant à jamais dans nos mémoires.

Mais où donc croyez vous trouver un gîte sûr ?
Vers quels monts, vers quelle île irez vous d'aventure ?
Dévorée par un lion est destin bien futile
Alors qu'auprès de nous vous étiez si tranquille.

Enfin soit, vous partez, vous l'avez décidé
Il n'est rien à tenter pour vous en empêcher,
Je mourrai donc de faim chaque jour qui viendra

Observant d'un oeil morne le sandwich du repas,
Je penserai à vous. Quoiqu'il en soit, ce jour
Je veux dire merci, vous souhaiter d'heureux jours.

A ceux là

A tous ceux qui souffrent ce soir d'un doigt blessé
C'est par la volonté d'apaiser leur douleur
Qu'ensemble, au Kabaret, du fond du notre coeur
Nous posons sur l'organe un très tendre baiser.

A toi Youri

A l'homme disparu et que nous aimions trop
De là où il nous voit, qu'il sache qu'à jamais
Comme tous ceux qui sont entrés au Kabaret
Il doit payer ses dettes, jusqu'au dernier euro !

De la pauvre Céleste
On trouva peu de restes
Mais autour des chaumières
Si près de la lisière
Bordant le cimetière
C'est souvent dans le soir
Qu'on crut apercevoir
Un drap blanc comme un suaire
Qui avançait vers vous
Dans le cliquetis doux
D'un boulet que l'on traîne
Ou comme un bruit de chaînes.

Quand souffle la tourmente en horizon d'automne
Sous la pluie, le brouillard, leurs sanglots monotones
En mon coeur il est lieu où perdure l'été
Là où régnent ferveur, compassion et piété
Il est encore temps de dire bonne année
A notre ami à tous, vaillant et bel André !

tres belle compliation poetique!

Hugo et sa Legende des Siecles peut aller se rhabiller!

sunny

oui, la compile totale s'appellera " la légende des siècles boursoramiens", j'espère que Victor n'en prendra pas ombrage Smile

Pour ce tournoi vinrent de toute la contrée
Sur leurs dignes montures les plus nobles chevaliers
Les combats se prolongèrent dix jours et dix nuits
Les plus faibles tombaient, un à un, sans répit.

Pour la dernière joute les deux hommes effrayants
Sous leur heaume se dévisageaient calmement
Avant de rabattre la visière sur leurs yeux
On eut temps d'entrevoir une lueur de feu.

Celui qui resta seul, debout sur le terrain
Brillait fort au soleil dans l'armure d'airain
Et, massif comme un chêne, il s'avança vers elle

On l'eût pensé guidé de volonté de fer
Quand il vint l'enlever, la souleva de terre
Emportant à cheval au fond des bois la belle.

Le héros et les boursieux

Posant d'un geste ample son panier sur la table
Décrottant ses bottes du bout de son baton
Maculant les carreaux de bouillasse marron
Le bouseux éclata d'un rire formidable

E'l Parigot blanc comme un navet qu'est jaloux
Viens mon p'tit gars, ce soir c'est la potée aux choux
E'l Parigot E'l têt'de veau qui fait un rot
Viens voére par là tu s'ras ben mieux qu'dans ton studio

Sujet: états d'âme Jeu 12 Jan 2006 - 19:27

mes états d'âme à ces ingrats du day trading j'ai confiés, dans un moment de profonde solitude et interrogation, sur ma vie, mon avenir, mon coeur, enfin tout ça quoi, c'est pas simple....

Depuis que Zack brisa mon coeur
Cet homme que, pour mon malheur
Je rencontrai un clair matin
M'engageant lors vers mon destin

De femme trompée et en pleurs
Depuis ce jour, cette infortune
Il en a rencontré des brunes
Et j'ai perdu joie et bonheur.

Et depuis lors, ça et là j'erre
Mais où suis je, en quelle étagère
En me posant tant de questions
Qui sans réponse resteront

A Twak le pur, Yquem le fort
Ou autre preux chevalier d'or
Ou zubrowska, sans résistance
Redonnerai je ma confiance ?

Sujet: Re: états d'âme Jeu 12 Jan 2006 - 23:19

Prenez les devants! Trompez à tour de bras smurfin

Sujet: une histoire bien triste Mar 17 Jan 2006 - 0:00

posté chez bourso avec un succès plus ou moins grand, à divers endroits :

Si grande est ma misère
Mais comment vais je faire
Pour nourrir mes petits
Et mes chats et mes chiens
Horoscope maudit
Qui prétend que demain
A la ruine serai
A jamais je te hais !

Pourtant je me souviens
De ce bel Hidalgo
Connu un clair matin
Il me dit quelques mots
Sur ce forum lointain
Dès lors je le suivis
Et en un tournemain
Mon portefeuille emplis

De fte bien sûr
Il avait les yeux clairs
Et dans son doux murmure
Hélas bien éphémère
Je voyais l'avenir
Couleur de la passion
Je crus en son sourire
Et reniai ma raison

Le luron s'est enfui
Un beau matin d'hiver
Et mon rire depuis
Ne résonne plus guère
J'ai compris la leçon
Et n'irai plus vaquer
Sur les autres forums
Près de vous resterai.

Sujet: les masques tombent Mar 17 Jan 2006 - 0:02

en réponse à deux individus qui reconnaissent en moi des attributs virils :

il y en a deux ici qui m'ont démasquée
j'ai trop honte, et je vous dois à tous des excuses, je suis un homme, me pardonnerez vous un jour....

A vous, Gorse et Goofy
Cet hommage dédie
A vous qui, en ce lieu
Savez ouvrir les yeux
Savez avec humour
Reconnaître l'infâme
Revêtu des atours
D'une honorable dame

Merci pour la clarté
D'esprit qui vous honore
Il reste à m'incliner
Reconnaître dès lors
Mes erreurs, m'excuser
Sachez me pardonner
Acceptez ma requête
Quand souffle la tempête

J'ai besoin d'un abri
Le trouverai je ici ?

Sujet: Le guerrier Ven 20 Jan 2006 - 3:19

Il est tard, il est nuit, il est sombre, il est froid
Sur le champ de bataille aux prises avec la glace
Quel est ce cliquetis résonnant sur la place
Une ombre qui défaille, un homme se tient là.

Au flanc de ce guerrier armuré de silence
Une sanglante entaille a vaincu le mithril
Mais il tient son épée à la main, il avance
Il tranche, il broie, taille, ces pleutres et serviles.

Quand les ombres enfin, lui renvoient le message
La guerre est terminée, le combattant se lève
Contemple son chemin, et marche comme en rêve
Rengainant son épée, traversant son ouvrage.

Je l'ai vu bien des jours traverser le désert
Affronter l'ennemi, franchir bien des barrières
Et son arme aujourd'hui ne quitte plus sa main
Combattant pour toujours, serait ce son destin ?

Sujet: Re: Le guerrier Ven 20 Jan 2006 - 20:07

Celeste a écrit:: Il est tard, il est nuit, il est sombre, il est froid
Sur le champ de bataille aux prises avec la glace
Quel est ce cliquetis résonnant sur la place
Une ombre qui défaille, un homme se tient là.

Au flanc de ce guerrier armuré de silence
Une sanglante entaille a vaincu le mithril
Mais il tient son épée à la main, il avance
Il tranche, il broie, taille, ces pleutres et serviles.

Quand les ombres enfin, lui renvoient le message
La guerre est terminée, le combattant se lève
Contemple son chemin, et marche comme en rêve
Rengainant son épée, traversant son ouvrage.

Ama ça vaut pas la tribue de Dana

Pour les ignares je remets les paroles ,écrites au burin sur du granit brut par frère Fraphale lui-même, de ce premier rap celtique

Le vent souffle sur les plaines de la Bretagne armoricaine.
Je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine.
Akim, le fils du forgeron, est venu me chercher;
Les druides ont décidé de mener le combat dans la vallée.
Là où tous nos ancêtres, de géants guerriers celtes,
Après de grandes batailles se sont imposés en maîtres.
C'est l'heure maintenant de défendre notre terre
contre une armée de Simériens prête à croiser le fer.
Toute la tribu s'est réunie autour des grands menhirs
pour invoquer les dieux afin qu'ils puissent nous bénir.
Après cette prière avec mes frères, sans faire état de zèle,
les chefs nous ont donné à tous des gorgées d'hydromel,
Pour le courage, pour pas qu'il y ait de faille,
Pour rester grands et fiers quand nous serons dans la bataille.
Car c'est la première fois pour moi que je pars au combat
Et j'espère être digne de la tribu de Dana.

{Refrain:}
Dans la vallée (oh oh) de Dana (la li la la).
Dans la vallée (oh oh), j'ai pu entendre les échos.
Dans la vallée (oh oh) de Dana (la li la la).
Dans la vallée (oh oh), des chants de guerre près des tombeaux.

Après quelques incantations de druides et de magie,
Toute la tribu, le glaive en main, courait vers l'ennemi.
La lutte était terrible et je ne voyais que des ombres,
Tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre.
Mes frères tombaient l'un après l'autre devant mon regard,
Sous le poids des armes que possédaient tous ces barbares,
Des lances, des haches et des épées dans le jardin d'Eden
qui écoulait du sang sur l'herbe verte de la plaine.
Comme ces jours de peine, où l'homme se traîne
À la limite du règne du mal et de la haine.
Fallait-il continuer ce combat déjà perdu ?
Mais telle était la fierté de toute la tribu.
La lutte a continué comme ça jusqu'au soleil couchant,
De férocité extrême en plus d'acharnement;
Fallait défendre la terre de nos ancêtres enterrés là,
Et pour toutes les lois de la tribu de Dana.

{au Refrain}

Au bout de la vallée on entendait le son d'une corne,
D'un chef ennemi qui rappelait toute sa horde.
Avait-il compris qu'on lutterait même en enfer
Et qu'à la tribu de Dana appartenaient ces terres ?
Les guerriers repartaient, je ne comprenais pas
Tout le chemin qu'ils avaient fait pour en arriver là,
Quand mon regard se posa tout autour de moi,
J'étais le seul debout de la tribu ; voilà pourquoi
Mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes,
Et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes.
Je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné
De ce jour noir de notre histoire que j'ai contée.
Le vent souffle toujours sur la Bretagne armoricaine
Et j'ai rejoint ma femme, mon fils et mon domaine.
J'ai tout reconstruit de mes mains pour en arriver là,
Je suis devenu roi de la tribu de Dana.

Je l'ai vu bien des jours traverser le désert
Affronter l'ennemi, franchir bien des barrières
Et son arme aujourd'hui ne quitte plus sa main
Combattant pour toujours, serait ce son destin ?

Sujet: Re: Divers ( ça veut dire bazar ) Ven 20 Jan 2006 - 20:09

MAIS P'TAIN

ils fument quoi TOUS ?

Sujet: Re: Divers ( ça veut dire bazar ) Ven 20 Jan 2006 - 20:15

Humf, l'original s'appele "tri martolod" et là, ça y ressemble déjà beaucoup moins ! lol!

Tri martolod yaouank (tra la la, la di ga dra)
Tri martolod yaouank o voned da veajiñ
Tri martolod yaouank (tra la la, la di ga dra)
Tri martolod yaouank o voned da veajiñ
O voned da veajiñ ge, o voned da veajiñ (bis)

Gant avel bet kaset (tra la la, la di ga dra)
Gant avel bet kaset betek an Douar Nevez
Betek an Douar Nevez ge, betek an Douar Nevez

E-kichen maen ar veilh (tra la la, la di ga dra)
E-kichen maen ar veilh o deus mouilhet o eorioù
O deus mouilhet o eorioù ge, o deus mouilhet o eorioù

Hag e-barzh ar veilh-se (tra la la, la di ga dra)
Hag e-barzh ar veilh-se e oa ur servijourez
E oa ur servijourez ge, e oa ur servijourez

Hag e c'houlenn ganin (tra la la, la di ga dra)
Hag e c'houlenn ganin pelec'h 'n eus graet konesañs
Pelec'h 'n eus graet konesañs ge, pelec'h 'n eus graet konesañs

E Naoned, er marc'had (tra la la, la di ga dra)
E Naoned, er marc'had hor boa choazet ur walenn
Hor boa choazet ur walenn ge, hor boa choazet ur walenn

Gwalenn ar promesa (tra la la, la di ga dra)
Gwalenn ar promesa, ha par omp da zimeziñ
Ha par omp da zimeziñ ge, ha par omp da zimeziñ

- Ni 'zimezo hon-daou (tra la la, la di ga dra)
Ni 'zimezo hon-daou, ha pa n'eus ket avañtaj
Ha pa n'eus ket avañtaj ge, ha pa n'eus ket avañtaj

- Ma mamm c'hwi zo 'n hoc'h aez (tra la la, la di ga dra)
Ma mamm c'hwi zo 'n hoc'h aez, n'ouzoc'h ket piv zo diaes
N'ouzoc'h ket piv zo diaes ge, n'ouzoc'h ket piv zo diaes

- N'hon eus na ti na plouz, (tra la la, la di ga dra)
N'hon eus na ti na plouz, na gwele da gousket en noz
Na gwele da gousket en noz ge, na gwele da gousket en noz

N'eus na liñser na lenn, (tra la la, la di ga dra)
N'eus na liñser na lenn, na pennwele dindan ar penn
Na pennwele dindan ar penn ge, na pennwele dindan ar penn

N'hon eus na skuell na loa, (tra la la, la di ga dra)
N'hon eus na skuell na loa, na danvez d'ober bara
Na danvez d'ober bara ge, na danvez d'ober bara

- Ni 'ray 'vel ar glujar (tra la la, la di ga dra)
Ni 'ray 'vel ar glujar, ni 'gousko war an douar
Ni 'gousko war an douar ge, ni 'gousko war an douar

Ni ray 'vel ar c'hefeleg, (tra la la, la di ga dra)
Ni ray 'vel ar c'hefeleg, pa sav an heol 'ya da redek
Pa sav an heol 'ya da redek ge, pa sav an heol 'ya da redek

Echu eo ma jañson, (tra la la, la di ga dra)
Echu eo ma jañson, an hini 'oar 'c'hontinui
An hini 'oar 'c'hontinui, an hini 'oar 'c'hontinui

Sujet: Re: Divers ( ça veut dire bazar ) Ven 20 Jan 2006 - 20:28

Fraphale a écrit:: Humf, l'original s'appele "tri martolod" et là, ça y ressemble déjà beaucoup moins !

An hini 'oar 'c'hontinui, an hini 'oar 'c'hontinui

c'est du chti ? Boulet

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