Le prudor ayant toujours été un bochophile notoire déplore la disparition du petit grafiste qui fit le bonheur de nombreux forums oubliés (dff, apel). Il se souvient, ému, de sourires oreillés procurés par des lectures phonétiques. Il écoutera toujours la Chevauchée des Walkyries en pensant à ce Bavarois qui le hantait, dans ses pérégrinations multiples.
Il se souvient aussi d'une expulsion indigne, idiote, vexatoire.
Il félicite néanmoins le Graf de son émancipation linguistique.