Voulez-vous jouer ??

Je vous propose un petit jeu pour vous détendre: Dans mon histoire loufoque sont cachés des mots ayant un rapport avec la musique: Compositeurs, oeuvres, instruments, termes musicaux, etc... ( sauf: les notes de musique ne comptent pas !)
Il y en a 53. Qui fera le meilleur score en en trouvant le maximum ?

Allez je vous aide : dans la première phrase: dans " tube à son pote "on entend les mots " Tuba" et " Basson". Ca fait 2, à vous les autres !

HISTOIRE LOUFOQUE SENTIMENTALE ET MUSICALE

Riton passe un coup de tube à son pote Anatole.
- Allo, Père Anatole ?
- Parles plus bas, Riton, répondit-il d’une voix rauque et drôle.
Je sais où est Monique. Je l’ai retrouvée en larmes au Nicaragua, les cinq sens en éveil. Guy, son époux, ne pouvait plus parler. Elle en était effrayée, car le mari aphone fait peur, c’est bien connu.
Sa vie au long de ce fleuve l’avait marquée, lui qui avait une haine de l’eau ! Avec sa vielle guimbarde, il a passé le bac et s’est retrouvé au bois, où cinq faunes y étaient cachés. Au loin, le cri d’un cerf qui brame son amour réveilla les instincts de Guy. Ce taré, qui aime sa femme comme la mozzarella, lui fait une bise et soupire en silence.
Tout indique, au râle qu’elle émet, qu’elle ne l’aimera plus :
Elle se rend compte qu’il est bête et qu’un sot n’attendrit plus personne.
Dans l’art, Monique a du talent, et elle n’est pas plus folle de Laure : il faut bien rigoler tôt ou tard, et Laure a tôt ri aux bons mots de Guy.
- Oui, Guy, t’as raison, lui dit Monique, profites-en ! Va donc voir Laure ! On ne va pas faire de mélo, dit-elle, mais on voit clair, on voit que tu l’aimes ! Mais tu crois que t’es normal ? Quand ta triste mine apparaît, j’en pleure, alors Vas t’en !
Aïe ! D’abord il accuse le coup. Il est méchant, son regard est noir et son teint verdit. Aïe ! De nouveau mais cette fois il se ressaisit :
- Quoi, tu ordonnes, maintenant ? Tu vas voir !
Et il la viole honteusement. Monique est partie courbée, molle comme une feuille puis est tombée car ses jambes ne la portaient plus. Monique, les vêtements lacérés, n’a de salut que dans la fuite.
Guy mesure la situation et va boire pour oublier.
Pendant qu’il piccole au bar, il rêve… C’est un bal… Karine … souvenirs…
Puis, bien qu’il soit si tard, il va relire son manuel de lutte gréco-romaine et pour se défouler, il va mettre aux nomades une bonne dérouillée, en se doutant bien que Lévi va le dire aux autres, en bon messager qu’il est.
Une cabine téléphonique, il entre, fait un numéro…
- Allo, Karine à l’appareil !
Mais c’est une autre histoire qui commence…

bon d'accord, le bide, quoi...

Krapouto a écrit:

HISTOIRE LOUFOQUE SENTIMENTALE ET MUSICALE

Riton passe un coup de tube à son pote Anatole.
- Allo, Père Anatole ? a l'opéra
- Parles plus bas, Riton, barriton répondit-il d’une voix rauque et drôle. rock'n roll
Je sais où est Monique. Je l’ai retrouvée en larmes au Nicaragua, armonica les cinq sens en éveil. Guy, son époux, ne pouvait plus parler. Elle en était effrayée, car le mari aphone fait peur, suis sûre qu'il y a un truc là, mais je vois pas c’est bien connu.
Sa vie au long de ce fleuve l’avait marquée, lui qui avait une haine de l’eau ! Avec sa vielle guimbarde, il a passé le bac et s’est retrouvé au bois, haubois où cinq faunes y symphonie étaient cachés. Au loin, le cri d’un cerf qui brame son amour réveilla les instincts de Guy. Ce taré, qui aime sa femme comme la mozzarella, lui fait une bise et soupire en silence.
Tout indique, au râle qu’elle émet, qu’elle ne l’aimera plus :
Elle se rend compte qu’il est bête et qu’un sot n’attendrit sonnate plus personne.
Dans l’art, Monique a harmonica du talent, et elle n’est pas plus folle de Laure folklore : il faut bien rigoler tôt ou tard, et Laure a tôt ri aux bons mots de Guy.
- Oui, Guy, t’as raison, lui dit Monique, profites-en ! Va donc voir Laure ! On ne va pas faire de mélo, dit mélodie -elle, mais on voit clair, on voit que tu l’aimes ! Mais tu crois que t’es normal ? Quand ta triste mine apparaît, j’en pleure, alors Vas t’en !
Aïe ! D’abord il accuse le coup. Il est méchant, son regard est noir et son teint verdit Verdi ?. Aïe ! De nouveau mais cette fois il se ressaisit :
- Quoi, tu ordonnes, maintenant ? Tu vas voir !
Et il la viole honteusement. Monique est partie courbée, molle bémol comme une feuille puis est tombée car ses jambes ne la portaient plus. Monique, les vêtements lacérés, n’a de sérénade salut que dans la fuite.
Guy mesure la situation et va boire pour oublier.
Pendant qu’il piccole au piccolo bar, il rêve… C’est un bal… Karine … souvenirs…
Puis, bien qu’il soit si tard, il va relire son manuel de lutte gréco-romaine et pour se défouler, il va mettre aux nomades une bonne dérouillée, en se doutant bien que Lévi va le dire aux autres, en bon messager qu’il est.
Une cabine téléphonique, il entre, fait un numéro…
- Allo, Karine à l’appareil !
Mais c’est une autre histoire qui commence…

[b]

bien Poussi, 14 ! encore un effort

Car le mari aphone fait peur
effectivement y en a un la dessous : CARL MARIA VON VEBER !

Je vous donne l'absolution euh..vous envoie la solution !

Riton passe un coup de tube à son pote Anatole.
- All o, Père A natole ?
- Parles plus bas, Riton, répondit-il d’une voix rauque et drôle.
Je sais où est Monique. Je l’ai retrouvée en l armes au Nica ragua, les cinq sens (camille)en éveil. Guy, son époux, ne pouvait plus parler. Elle en était effrayée, car le mari aphone fait peur, c’est bien connu.
Sa vie au long de ce fleuve l’avait marquée, lui qui avait une haine de l’eau ! Avec sa vielle guimbarde, il a passé le bac et s’est retrouvé au bois, où cinq faunes y étaient cachés. Au loin, le cri d’un cerf qui brame s on amour réveilla les instincts de Guy. Ce taré, qui aime sa femme comme la mozzarella, lui fait une bise et soupire en silence.
Tout indi que, au râle qu’elle émet, qu’elle ne l’aimera plus :
Elle se rend compte qu’il est bête et qu’un sot n’atte ndrit plus personne.
Dans l’art, Moni que a d (2) u talent, et elle n’est pas plus folle de Laure : il faut bien rigoler tôt ou tard, et Laure a tôt ri aux bons mots de Guy.
- Oui, Guy, t’as r aison, lui dit Monique, profites-en ! Va donc voir Laure ! On ne va pas faire de mélo, dit-elle, mais on voit clair, on voit que tu l’aimes ! Mais tu crois que t’es normal ? Quand ta triste mine apparaît, j’en pleure, alors Vas t’en !
Aïe ! D’a bord il accuse le coup. Il est méchant, son regard est noir et son teint verdit. Aïe ! De nouveau mais cette fois il se ressaisit :
- Quoi, tu or donnes, maintenant ? Tu vas voir !
Et il la viole honteusement. Monique est partie cour bée, molle comme une feuille puis est tombée car ses jambes ne la portaient plus. Monique, les vêtements lacérés, n’a de salut que dans la fuite.
Guy mesure la situation et va boire pour oublier.
Pendant qu’il piccole au bar, il rêve… C’est un bal… Karine … souvenirs…
Puis, bien qu’il soit si tard, il va relire son manuel de lutte gréco-romaine et pour se défouler, il va mettre aux nom ades une bonne dérouillée, en se doutant bien que Lé vi va le dire aux autres, en bon messager qu’il est.
Une cabine téléphonique, il entre, fait un numéro…
- All o, Karine à l’appareil !
Mais c’est une autre histoire qui commence…

Bravo M. Vidian 38 si j'ai bien compté ?
voici les manquants soulignés :

Vidian a écrit:

Riton passe un coup de tube à son pote Anatole.
- All o, Père A natole ?
- Parles plus bas, Riton, répondit-il d’une voix rauque et drôle.
Je sais où est Monique. Je l’ai retrouvée en l armes au Nica ragua, les cinq sens (camille)en éveil. Guy, son époux, ne pouvait plus parler. Elle en était effrayée, car le mari aphone fait peur, c’est bien connu.
Sa vie au long de ce fleuve l’avait marquée, lui qui avait une haine de l’eau ! Avec sa vielle guimbarde, il a passé le bac et s’est retrouvé au bois, où cinq faunes y étaient cachés. Au loin, le cri d’un cerf qui brame s on amour réveilla les instincts de Guy. Ce taré, qui aime sa femme comme la mozzarella, lui fait une bise et soupire en silence.
Tout indi que, au râle qu’elle émet, qu’elle ne l’aimera plus :
Elle se rend compte qu’il est bête et qu’un sot n’atte ndrit plus personne.
Dans l’art, Moni que a d (2) u talent, et elle n’est pas plus folle que Laure : il faut bien rigoler tôt ou tard, et Laure a tôt ri aux bons mots de Guy.
- Oui, Guy, t’as r aison, lui dit Monique, profites-en ! Va donc voir Laure ! On ne va pas faire de mélo, dit-elle, mais on voit clair, on voit que tu l’aimes ! Mais tu crois que t’es normal ? Quand ta triste mine apparaît, j’en pleure, alors Vas t’en !
Aïe ! D’a bord il accuse le coup. Il est méchant, son regard est noir et son teint verdit. Aïe ! De n ( Haydn) ouveau mais cette fois il se ressaisit :
- Quoi, tu or donnes, maintenant ? Tu vas voir !
Et il la viole honteusement. Monique est partie cour bée, molle comme une feuille puis est tombée car ses jambes ne la portaient plus. Monique, les vêtements lacérés, n’a de salut que dans la fuite.
Guy mesure la situation et va boire pour oublier.
Pendant qu’il piccole au bar, il rêve… C’est un bal… Karine … souvenirs…
Puis, bien qu’il soit si tard, il va relire son manuel de lutte gréco-romaine et pour se défouler, il va mettre aux nom ades une bonne dérouillée, en se doutant bien que Lé vi va le dire aux autres, en bon messager qu’il est.
Une cabine téléphonique, il entre, fait un numéro…
- All o, Karine à l’appareil !
Mais c’est une autre histoire qui commence…

Merci !

ps : folklore est limite )

Oui comme Carl Maria von Veber !