| | Les pages de monsieur Proust et sa famille | |
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Celeste Grand Commandant
Nombre de messages : 2973 Localisation : Le Vatican Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: Les pages de monsieur Proust et sa famille Sam 12 Fév 2005 - 19:51 | |
| Stances à un héros
Reconnaissant en lui La Grande Plume d'Or Le héros du forum des plus vaillants boursieux Les foules subjuguées hurlent et hurlent encore Scandant en rythme le nom de l'élu des dieux
Le silence il impose de son verbe acéré D'admiration on bée à ses mots de génie Son Histoire de la Bourse reste à jamais Le chef d'oeuvre de toute notre anthologie
Les hommes respectueux le saluent poliment Espérant lui placer un mot avantageux Pour lequel il les regarderait, curieux
Quand aux femmes elles se mangent les ongles d'espoir Qu'il pose un jour sur elles rien qu'un seul regard Leurs rêves sont nourris d'attendre cet instant.
Le héros, ses pensées, le plat pays, et les gens ordinaires
Quand nous autres, innocents, bienheureux et simplets Connaissons de Bruxelles sa Place Carrée Poussons à Bruges nous goinfrer de chocolats Au port d'Ostende, moules frites avec les doigts Remarquant, l'oeil expert, que ce pays est plat,
Le héros et ses proches, en humains supérieurs Ne s'y déplacent que pour écouter Wagner Ou bien étudier la lumière chez Vermeer Il est temps de parler de Monet et Turner Et nul ne passe en Flandre sans mentionner Brueghel.
Dernière édition par le Dim 13 Fév 2005 - 0:11, édité 1 fois | |
| | | Celeste Grand Commandant
Nombre de messages : 2973 Localisation : Le Vatican Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: Le héros Sam 12 Fév 2005 - 19:53 | |
| D'une verve plus qu'étonnante D'une plume alerte et lègère Il touche nos âmes vibrantes Et rend éternel l'éphémère
Capturant l'oiseau de passage Il le croque d'un fusain vif D'un tournemain le met en cage De sa plume à jamais captif
Eclairant les journées moroses De la bourse à trop hautes doses Il vient à nous avec les siens
Bien que son frère ait un accent Fort peu honnête au demeurant Ils sont la joie de nos matins. | |
| | | Celeste Grand Commandant
Nombre de messages : 2973 Localisation : Le Vatican Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: le jour de l'étoile Sam 12 Fév 2005 - 22:14 | |
| Keeper
Cette foi qui vous anime et vous fait briller Dans notre ciel passant, cette longue journée Qu'elle porte et transporte jusqu'aux plus hauts sommets Les lueurs de ce jour, et pour l'éternité Les fige dans le froid, les sauvant à jamais. | |
| | | Celeste Grand Commandant
Nombre de messages : 2973 Localisation : Le Vatican Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: La quête Sam 12 Fév 2005 - 22:17 | |
| L'ultime sacrifice pour l'ultime victoire La quête du bonheur n'est vaine ou illusoire Sabre au clair, haut les coeurs, que l'épée tranche et taille Il faut, sans artifice, gagner la bataille. | |
| | | Prudor Dépendeur d'andouilles
Nombre de messages : 1280 Localisation : Reblochon-plage Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: ALICE Dim 13 Fév 2005 - 13:03 | |
| Alice Boule de Pus au pays des merveilles.
looool NI.KAGE EN Beauté de l'EUROPE PAR LES RICAINS alice114 (Alice:-)) - 22:03 26/10/04 Demain OPEN GAG +1.3% looooooooooooooooooooooooool alice114 (Alice:-)) - 22:03 26/10/04 CE SONT DE SALES ENFLURES ces TRADERS RICAINS alice114 (Alice:-)) - 22:04 26/10/04 CES SA-L-OP.ARDS NOUT ONT B.AISE alice114 (Alice:-)) - 22:05 26/10/04
De toutes les écrivaines qui ont donné à la littérature ses lettres de noblesse, Alice114 est sans nul doute la plus célèbre. A juste titre, tant son oeuvre se caractérise par une poésie toute féminine. Son livre le plus connu, Plonge racluuu.uuure (Paris, 2003), est un miracle de délicatesse psychologique et de nostalgie. Il s'agit d'un remake* de Madama Butterfly, opéra célèbre de Frédéric Mitterrand, narrant l'histoire d'une femme japonaise délaissée par un officier de garnison. L'action est transposée dans l'Europe d'aujourd'hui mais le choc culturel et la passion éperdue demeurent. Dès les premières lignes, le lecteur est plongé dans une bourrasque romanesque sans précédent : "looool NI.KAGE EN Beauté de l'EUROPE PAR LES RICAINS". On remarquera quelques éléments-clefs du style alicien : usage récurrent de l'apocope (lol pour lolita - surnom de l'héroïne, la référence au roman de Vladimir Kubrick est tout sauf fortuite) ou de l'aphérèse (les "Ricains" semblent en outre être un hommage non dissimulé à la chanson de Victorien Sardou), références mythologiques (le rapt d'Europe par un Dieu déguisé en bull est une obsession majeure de notre auteure), romanesque débridé (ce "nikage en beauté" semble avoir été soufflé par Louise Labbé). D'emblée, on ne peut qu'être saisi par tant de majestueuse beauté. Le caractère déchirant du roman est accentué par la multiplicité des protagonistes. En effet, si, dans Madame Butterfly, l'héroïne étaient quittée par un Américain, ici, Lol(ita) est quittée par plusieurs hommes à la fois ce qui, par-delà la modernité évidente de la transposition, multiplie les occasions d'être drôlement malheureuse. La suite du texte révèlera progressivement l'étendue du drame, qui n'est pas sans évoquer celui d'une autre grande courtisane, célèbre par ses camélias : "CES SA-L-OPAR.DS** NOUT ONT B.AISE". on remarquera aussi les libertés prises avec la conjugaison et l'orthographe bourgeoise qui, licence poétique oblige, permettent à Alice de faire passer des images métaphoriques particulièrement audacieuses : le "nous" devenus "nout" renvoie directement au knout, forme de sévice sexuel particulièrement apprécié des "Ricains"***. On mesure combien la condition féminine est ici au coeur des préoccupations de la romancière (qui reçut le grand prix MLF de la création littéraire avortée en 2003). Expression sublimée de ce désarroi, le lamento d'Alice revient, tel un leitmotiv déchirant, à plusieurs reprises au cours du récit : "CE SONT DE SALES ENFLURES ces TRADERS RICAINS". Si la graphie, usant avec discernement des majuscules, affirme ici le caractère majeur du drame, elle ne peut cependant totalement masquer l'ironie féline d'Alice qui sait les vanités du monde : l'enflure n'évoque-t-elle pas, avec une étrange immédiateté, la fable de la Grenouille et du bull ? On connaît, hélas, la suite du drame. Alice attend un enfant dont le père restera inconnu, malgré 12 expertises d'ADN. La venue au monde de ce malheureux est un chef d'oeuvre d'humour grinçant qui saisit le lecteur aux tripes pour mieux lui nouer la gorge : "Demain OPEN GAG +1.3% looooooooooooooooooooooooool"****. On remarquera encore la puissance expressive du style alicien avec l'apocope de Lolita qui, par un étirement proprement stupéfiant, traduit à la perfection les douleurs de l'enfantement, lors même que l'intrusion du mot "gag" avait conduit le lecteur à esquisser un sourire de soulagement. Ces variations rythmiques, conjuguées à l'alternance de la comédie et du drame, sont une constante de l'épopée alicienne. Lorsque, le souffle coupé, le lecteur ferme Plonge racluu.uuuure, le silence qui suit sa lecture est encore du Alice114.
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* C'est volontairement que nous usons d'idiomes anglo-saxons, eu égard à la culture américanophile de l'auteure. ** "Comme les travaux d'Hercule, les salopards sont au nombre de douze" Aldrich (Robert), the Dirty dozen, MGM éditions, 1967. On mesure ici l'ouverture d'esprit d'Alice. *** Pour en savoir plus : Ne nout laissont pas baiset impunément ! Manifeste pour le droit au Synthol, Chiennes de garde éditions, Paris, 2004. **** Après de nombreuses recherches, l'INSEE a pu prouver que ce "1.3%" qui a plongé de nombreux experts dans des interrogations sans fin correspond en fait au taux de fécondité des femmes aux camélias. | |
| | | Prudor Dépendeur d'andouilles
Nombre de messages : 1280 Localisation : Reblochon-plage Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: Bouvard & Pécuchet Dim 13 Fév 2005 - 13:04 | |
| Histoire de la bourse - tome 5 Bouvard et Pécuchet découvrent l'Amérique ------------- Chacun connaît Bouvard et Pécuchet. Moi-même, admirateur de longue date de leur oeuvre colossale, j'ai longtemps déploré leur décision de se retirer du monde, parce qu'ils le jugeaient (comment leur donner tort ?) indigne de leurs talents. Quelle ne fut pas ma surprise de les découvrir un jour, dans un modeste salon, à deux pas du Palais Brongniart. Voici l'histoire telle qu'elle me fut narrée. --------- La bourse, soudain les captiva. Ils lurent les journaux, s'intéressèrent aux chiffres, analysaient les courbes, détaillaient les graphes. Bouvard affirmait que les valeurs oscillaient au sein de canaux qu’il était aisé de repérer pour anticiper les mouvements. Pour ne pas déranger son ami dans ses recherches, il courait la campagne, énonçant à voix haute des vérités nouvelles : « - soitec est facile un canal a jouer achat sur 4.10 et vente à 5.30 mini » (0) Pécuchet, bientôt, tint pour certain que les indices américains Dow Jones et Nasdaq obéissaient à des règles précises. Bientôt, il affirma, péremptoire, détenir un modèle infaillible. L'indice lui obéissait. "- ouais je m'en occupe du naz " (1) Un soir qu'il annonçait une chute inéluctable, Bouvard s'enthousiasma : "-laissez moi shorter laissez moi!! - ok je te le laisse " (2) Le vocabulaire avait suivi. Lorsqu'ils discutaient, ce n'était plus que vades, shorts, up et down, djia ou naze. Les mots les échauffaient, ils y trouvaient comme la satisfaction d'un monde nouveau dont ils seraient les explorateurs. Ils les répétaient avec un plaisir de gourmet, se regardant, l'un l'autre, comme les détenteurs d'un secret. Parfois, dans le silence de l’étude, l’un d’eux levait la tête et articulait avec gourmandise : « mo-ney ma-na-ge-ment ». L’autre répétait le terme et tous deux, pendant de longues minutes, se regardaient avec l’air entendu des initiés. Parfois, un article dans la presse ébranlait leurs certitudes. - "je viens d'avoir un flash tout le monde dit twix et plus raider .... et je m'étais juré de toujours dire raider ..... poutaing cette manip du cerveau ... liberté mon qul pffff hihi )" (3) Ils commandèrent des livres, les lisaient continûment, s'arrêtant à peine pour déjeuner. Une fois qu'ils furent sûrs de leur savoir, ils se décidèrent à le mettre à l'épreuve, ressentant au moment de se lancer dans la spéculation boursière, comme la fièvre d'une pulsion interdite. Ce fut d'abord prudence et circonspection. Pécuchet passa plusieurs journées enfermé avec l'indice. Derrière la porte, il tempêtait. Du village, on venait l'entendre sous la fenêtre et Bouvard, lorsqu'il eût réalisé qu'il était impossible d'échanger avec eux sur les vagues d'Elliot, se résolut à éconduire ces curieux. Un soir, tandis que Mélie débarrassait le couvert, Pécuchet ouvrit bruyamment la porte, descendit l'escalier en trombe, un tas de papiers à la main, se jeta dans les bras de son ami. "- bon je bosse pour préparer mon 2eme swing un long cette fois ci a priori ca donnerait un W avec comme seuils 9746 et 9760 comme base a suivre moi je m'échauffe ) par contre faudrait plus passer 9946 ... bon next week je t'envoie le modele un de ...mai hihi )" (4) Bouvard tenta bien de tempérer son ardeur : " d'accord ! mais impossible si nazou casse pas 1895" (5) mais, devant l'enthousiasme de celui qui avait vaincu Elliot, il rendit les armes. La suite de la nuit les vit confronter le modèle à la réalité ; pour la première fois, ils avaient misé de l'argent. Le coup d'essai fut celui d'un maître. Ils ne doutèrent plus. A l'aube, attablés, ayant vidé plusieurs bouteilles de vin, ils trinquaient encore à leur fortune autant qu'à leur gloire, toutes deux assurées. Le lendemain puis trois jours encore, ils triomphèrent. Au village, le bruit de leurs travaux s'était répandu, on jalousa leur aisance. La semaine suivante fut triomphale. Pécuchet eut l'idée d'organiser une réunion avec les notables pour "un living trade". La majesté du mot les grisa. Le soir même, ils tinrent séance publique. M. Vaucorbeil se félicita de ce que leurs expériences, cette fois, ne missent en péril que la santé morale "et non la santé publique". Le comte de Faverges répliqua qu'il étaient notoire que chez certains le portefeuille, comme le foie ou le coeur, était un "organe vital". On rit de ce mot. Bouvard rougit et voulut répondre. L'horloge sonna, il fallut se mettre en place. Au début, tout se déroula parfaitement. Les prédictions se réalisaient et Madame Bordin, médusée, observait la courbe suivre les mouvements voulus, pareil à un serpent sous l'emprise du fakir. Elle battait des mains, se pressait contre Pécuchet qui rougissait dans la pénombre. Vers 21 heures, alors qu'ils venaient d'annoncer fièrement "banco" comme s'ils eussent été au casino, tout se dérégla. D'abord, Bouvard tenta de minimiser l'incident : " - bon j'étais pas loin..1924" (6) Se tournant vers Madame Bordin qui, manifestement, ne comprenait plus rien, il feignit d'être rassuré. "- mais c'est pas fini up up up!!!!" (7) Pécuchet tremblait, fut pris d'un rire nerveux. " - les bulls y ont encore cru hihi " ( mais, bientôt, perdant toute retenue, il laissa libre cours à sa colère " - masi késki branlent bordel )))" (9) Madame Bordin manifesta son indignation, le docteur ricanait. Tous partirent. Devant tant d'ingratitude, Bouvard accompagna ses visiteurs d'un adieu méprisant, s'offrant la satisfaction d'user de termes techniques qu'ils ne pourraient comprendre : " - have fun arfff bon week" (10) Devant l'écran, Pécuchet était comme anéanti. En quelques minutes, ils venaient d'engloutir une fortune. Il leur restait du terrain à hypothéquer et ils maudirent maître Gouy qui tardait encore à payer son dû. 0) 6emesens (béni du diable) - 11:21 16/10/04 1) zpierrot (zpierrot) - 21:02 15/10/04 2) 6emesens (béni du diable) - 21:03 15/10/04 & zpierrot (zpierrot) - 21:05 15/10/04 3) zpierrot (zpierrot) - 21:09 15/10/04 4) zpierrot (zpierrot) - 20:56 15/10/04 5) 6emesens (béni du diable) - 20:58 15/10/04 6) 6emesens (béni du diable) - 21:27 15/10/04 7) 6emesens (béni du diable) - 21:29 15/10/04 zpierrot (zpierrot) - 21:09 15/10/04 9) zpierrot (zpierrot) - 21:29 15/10/04 10) 6emesens (béni du diable - 21:33 15/10/04 | |
| | | Prudor Dépendeur d'andouilles
Nombre de messages : 1280 Localisation : Reblochon-plage Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: 7J-Marc : a star is bornée Dim 13 Fév 2005 - 13:08 | |
| Ce fut un soir d'été, boursorama alors Pour plaire aux habitués, inventa l'étoile d'or. N'écoutant que l'égo, fier et sombre Auvergnat, Par ses jolis propos le coeur de tous gagna. A ceux qui par malheur, le coeur empli de rage, S'affolaient de leur Pru, invoquant le courage, Une belle voix affirma, tel un diamant d'Anvers Qu'ils ne seraient, mon Dieu !, pas toujours à l'envers. Mais sous l'inanité, la fadeur du propos, Le calcul était gros, le discours démago. Malheur au rival qui se faisait entendre Avec les autres primés, il n'était pas tendre. Ainsi, se répétant, toujours, de page en page Le héros bégayait, mais en guise d'hommage Se voyait par ses clones, par lui-même étoilé, Fier et obscur destin du trop recommandé. | |
| | | Prudor Dépendeur d'andouilles
Nombre de messages : 1280 Localisation : Reblochon-plage Date d'inscription : 12/02/2005
| Sujet: ALSTOM : Perspectives à 2035 % (Frlançois brlotherls equiti Dim 13 Fév 2005 - 13:11 | |
| ALS , mon point de vue pour 2035 et plus >>
Dans 35 ans serla publié le T 3 d'ALS , occasion de fairle un peu le point aprlès les rlésultats du 18/11/2034, dont prlesque toutes les brlanches étaient au dessus des attentes, d'où un + 0,1% en novembrle...
Hierl douche au kärlcherl froide, les commandes , au lieu de 0,002 rlessorltent à 0,00198 milliarlds d'eurlos. Le marlché, ce crlétin, rléagit à chaud etsanctionne. Les petits Prlus vendent à l'ouverlturle, en perldant 0,01 cents.
Ceci est, contrlairlement à ce que pas mal pensent, un BIEN pour ALS. Cela signifie que les Hedge Funds ont définitivement quitté le navirle (grlosso modo entre 2020 et 2023) ; idem pour les grlos vadeurls (depuis que le titrle a été rletirlé du SrlD). Sinon , le titrle aurait ouvert en baisse de 10%, comme parl le passé lointain, avec une telle annonce à chaud bouillant. Donc bonne nouvelle, plus de Hedge Funds ni grlos vadeurls surl ALS. D'ailleurls, plus perlsonne depuis que le titrle a été rladié de la cote.
En se penchant de plus prlès sur ces chiffrles, on attrlape un torlticolis (ce qui est conforlme aux attentes).
Il faut cependant savoirl, que beaucoup de commandes n'ont pas été comptabilisées, comme, - un contrlat de 500 serlviettes en papier pourl la Compagnie des Wagons lits (3,50 eurlos en courls de finalisation à Auxonne), - ainsi qu'un contrlat en rlégion Centrle de 200 eurlos pourl le nettoyage du trlain exprless rlégional le 17 marls 2036, - et bien d'autrles (au moins, sinon plus),
Question de décalage de comptabilité (confiée depuis 2005 à Frlydmann & associés),
Il faut donc également le mettrle en parlallèle à un chiffrle d'affairles de 0,0057 MdsE surl la pérliode (moins les carltes de fidélité et autrles prlomotions), qui rleste significativement inférieurl aux commandes, signe que la crloissance est en vue (grlâce aux lunettes Affleflou, 14 grlatuites pourl une à moitié prlix). Depuis le début de la décennie, Alstom a rléalisé 3 faillites, 4 cessatons de paiement, 5 dépôts de bilan, tout ça sans impacter (trlop) les COMMANDES, ce qui est signe d'OPTIMISME (et les 143 AK sont désorlmais loin derrlièrle nous).
M 7Marlc Krlon, le prlésident honorlairle du grloupe, a confirlmé ses anticipations annuelles, forlmulées chaque jourl sans discontinuer depuis plus de trlente ans : AYEZ CONFIANCE.
Les chiffrles parlent d'eux-mêmes : - une marlge d'exploitation de 0 à 0,01% pourl un chiffrle d'affairles en rlepli d'à peine 95% surl l'exerlcice surl une base comparlable, et des prlises de commandes de 150 à 1000 eurlos parlfois. Notons que le rlespect de ces prlévisions implique un rlobuste optimisme et une non moins extrlaordinairle naïveté. L'existence d'un chiffrle d'affairles l'année prlochaine est un objectif jugé 'ambitieux' par plusieurls analystes.
La prlochaine assemblée générlale des 147 ultimes petits porlteurls devrlait entériner le prlincipe d'une OPE amicale surl la base de 4 emprlunts russes pour 12 actions alstom. Le rlendez-vous est fixé avenue du générlal de Gaulle à Bois-colombes, pourl la grlande brladerlie de prlintemps.
L'ENTHOUSIASME est donc de mise. D'ailleurls, il est aujourld'hui IMPOSSIBLE que le courls soit divisé parl 100, comme cela est arrlivé à plusiurls rleprises : l'ABSENCE DE OTATION EN EST LA GARLANTIE CERLTAINE.
Courlage, Confiance, et Patience (avvec un CCP majuscule), et dirlection Bois-Colombes dans moins de 2 mois à prlésent.
Corldialement ,
Frlèrle Frlançois
(tous drloits rléserlvés) | |
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